De retour au origine

Un sifflement strident résonna dans la gare, les contrôleur appelaient les dernier voyageur à rapidement embarquer, le train aller partir, sa direction, Central. Avec précipitation, quelque voyageur sauté dans les wagon, soufflant avec joie, et maudissant la raison qui avait faillit leur faire rater leur train. Marverik lui était déjà installé, par la fenêtre, il regardait l’agitation sur les quais, un sourire au lèvre, car la dernière fois qu’il était venu en ces lieux, c’était encore une foret où la flore et la faune régnaient en maître. Il n’était pas retourné en Amestris depuis plus de 60 ans, ayant quitté ces contré pour voyager et voir du paysage, et de ces voyage, il avait beaucoup retenu, mais, en lui, quelque chose le poussait à revenir, voir comment cela c’était transformé en une aussi longue période, comment la révolution technologique avait modifié les lieux.

Dans le wagon, il n’y avait pas beaucoup de monde, une famille dont les parents tentaient de calmer leur bambins tous surexcités, des hommes d’affaires qui s’endormaient enfin après une dur journée, d’autres qui avaient emmenés leur travail avec eux, mais sinon, il n’y avait pas grand monde, laissant ainsi l’homme seul sur sa banquette et celle qui lui faisait face. Marverik mâchonna sa cigarette, puis la jeta par la fenêtre, en dehors, le quai et son agitation laissait place peu à peu à la campagne verdoyante, où les fermiers ramassaient la récolte du jour tant dis que les vaches broutaient paresseusement l’herbe. L’homme sorti un paquet de cigarette, en pris une, puis sortie un brique, il alluma sa cigarette puis rangea le tout pour fumer un peu tant dis que le paysage défilait devant lui. Il était vêtu tout de noir, excepté une chemise blanche, à son col, pendouillait une cravate qu’il avait desserré un peu, à coté de lui, une valise noir sur la quelle reposait un manteau et un chapeau eux aussi noir. Il avait tout de ce qui avait de plus normal, un simple voyageur, bien que le tatouage sur sa joue droite fusse la seul chose qui puisse paraître anormal, un tatouage en forme d’ Ouroboros.

Kazumi rentrait de mission et marchait sur les rails du train qui mennait à central lorsqu'elle sentit les vibrations typique de l'arrivée d'un train.
" Ah bah c'est pas trop tôt..."
Elle se mit sur la droite. Le train lancée à vive allure lui passa devant. Au dernier moment, elle sauta à l'arrière. Elle reussit à ouvrire la porte et a entrer dans le train.
Une fois la porte refermée, elle souppira et se passa la main dans les cheveux. Elle regarda le compartiment. Il y avait plusieur place de libre. Elle s'assit à l'une d'entre elle, en face d'un jeune homme
" BOnjour..." dit elle poliment mais d'une voix un peu lasse

Marverik tourna le regard vers la nouvelle arrivé, il l'avait vu dehors au passage du train, elle venait donc d'embarquait, avec un peu de retard. Il lui adressa un sourire et un signe de tête.

-Enchanté! A ce que je vois, vous venez d'embarquait.

Elle semblait fatigué, dieux sait ce qu'elle avait fait avant, sauf si sa reception du train était le cause.

Kazumi sourrit
" En effet, c'est plus existant de prendre un train lorsqu'il est en marche^^"
Elle arrangea un peu sa cape en lui repondant

Marverik haussa les épaules, il n'avait jamais réellement essayé se genre d'acrobasie, ayant toujour le temps pendant ces voyage, il se contentait d'attendre.

-Il est vrais que l'on peut s'amuser, mais, il faut etre entrainé, sinon il est rare que l'on ne se blesse pas lorsque l'on rate son coup.

Il regarda la jeune femme, ces habit était un peu sale, elle semblait habitué à faire des exercice dans ce style.

-Le tout c'est éviter de rater.

Kazumi comprit le regard de se dernier.
" Oui je suis entrainée... Mais il m'arrive encore de m'égratiner..."
Elle traça les contours de la cicatrice sur sa joue en revassant un peu

Marverik eu un nouveau sourire, il était vrais qu'elle semblait en avoir vu.

-, je vois... Mais où avais-je la tête...

Il tendit la main vers elle.

-Marverik Leek Mortis, pour vous servir.

Kazumi serra avec douceur la main qui lui était tendue
" Kazumi, Kazumi Stone... Enchantée^^"

Marverik eu un petit mouvement de tête.

-Trés jolie nom!

Il lui adressa un sourire puis fouilla dans sa poche pour en sortir un montre et regarda l'heure.

-Et bien, je crois que je crois que l'on va avoir beaucoup de temps pour discuter...

Il referma le clapé et rangea la montre.

-Cela ne vous dérange pas que je fume?

" Merci^^ Le votre n'est pas mal non plus^^^"
Elle le regarda fouiller dans sa poche et regarder sa montre. QUnad il dàclara qu'il allaient avoir du temps pour parler elle hocha la tête.
" En effet, les voyages en train se idéale pour cela...."
Elle lui sourrit. Lorsqu'il lui demanda si il pouvait fumer, elle lui repondit par la positive. Sa lui arrivait elle aussi de fumer de temps en temps

Marverik continua à fumer vu qu'il avait l'autorisation, il n'aimait pas déranger, et puis, pour lui, la cigarette n'était qu'un petit plaisir d'on il pouvait se passait, mais, cela lui plaisait de fumait.

-Ah... fumer est mauvé pour la santé, mais, c'est un passe temps pour moi... Pour quelqu'un qui passe son temps à s'occuper de la santé des autres, cela ne fait pas sérieux, mais bon!

Il fouilla et sortie son paquet de cigarette et en proposa une à le jeune femme.

-Même si cela tue, on a le droit de se faire plaisir, vous en voulez une?

" Volontier..."
Kazumi prit délicatement une cigarette
" Un plaisir... Mais a ne pas trop user..."

Marverik ne put s'empécher de rire. Il sortie son briquet.

-Et oui, ainsi va la vie, chaque chose est à double tranchant.

Il alluma son briquet et le présenta devant Kazumi.

Kazumi sourrit, mit la cigarette dans sa bouche et se pencha pour l'alummer.

Marverik referma le briquet et le rangea, Il s'adossa au dossier,puis regarda la jeune femme.

-vous ne me semblez pas être une simple voyageuse qui prend les train en marche pas amusement...

Il lui adressa un sourire.

Kazumi prit une bouffée et dit en la recrachant
" Alors de quoi ais-je dont l'air?" demanda t-elle avec un sourire charmeur

Marverik pris entre ces doigt la cigarette et mit la jeta la cendre en dehor du train.

-Et bien, je dirais de quelqu'un qui semble beaucoup voyager, et qui ne fait pas que du tourisme... Oui, je dirais cela.

Il lui adrassa un nouveau sourire avant de reprendre un bouffé.

Kazumi rit doucement
" On peut dire sa comme sa... Et vous, ormis que vous etes un homonculus que faites vous dans la vie?"

Marverik la regarda, il ne comprenait ce qu'elle voulait dire pas Homoculus. L'homme vivait depuis déja 126 an, son apparence n'avait jamais était modifé, et lorsqu'il était bléssé, ces blessures était soigné presque aussitot, Il avait des pouvoir plutot surhumain. Il avait pris conscience qu'il n'était pas a proprement parlé un humain, mais autre chose. Il se redressa pour se pencher vers elle, intrigué.

-Alors, c'est ce que je suis... un Homoculus... dole de nom, je présume que cela doit avoir un lien avec l'alchimie... Enfin, à part être un Homoculus, je suis un medecin.

Il se réinstalla dans son fauteille.

-Mais comment avez vous su que j'était un Homoculus?

Kazumi l'écouta avec attention.
" La marque sur votre joue."
Elle se pencha en avant et tarça le contour de la marque de l'homme

Marverik porta la main sur sa joue, il était vrais qu'elle a toujur était là. Il souria.

-Mais dites moi, que faites-vous dans la vie?

Il Inspira une bouffé de sa cigarette et expira le tout, jetant à nouveau la cendre par la feu.

" Je suis militaire, Alchemiste et un peu medecin^^"
Elle regarda sa cigarette se consumer d'un air pensif

Un sourire illumina le visage de Marverik.

-Oh, alors nous somme un peu confrère, alors!

Il jeta le mégot de sa cigarette par la feunétre.

Kazumi le regarda un peu perplexe
" Je ne sais pas si je peux avoir l'honeur d'être appelée confrère... J'utilise l'alchemie médical... Pas les technique traditionelle"

La réflexion de la jeune femme fit sourire Marverik.

-On est pas confrère parce qu'on utilise les même techniques, mais parce que l'on soigne et sauve des personne. Le fait d'utiliser l'alchimie pour cela où non n'a aucun rapport.

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