Le petit soldat prend le train

Ulrich revenait de sa permission, qu'il avait passé dans la Rushvalley. Il avait prit un peu de repos, avant de revenir totalement frais. Il avait son uniforme de militaire et son révolver dans son holster. Il portait sur son dos le pactage et le fusil d'assaut sur son épaule. Le train était bondé de monde...
Le jeune soldat prit place à côté d'un homme âgé et d'une petite fille. La fillette le regardait avec une certain admiration, alors que dans les yeux du vieillard, c'était une drôle de chose qui était perceptible... Intrigué, le jeune soldat se permit de demander, avec tout le respect qu'il avait, ce qui n'allait pas :

-Monsieur, quelque chose ne va pas? Vous ne vous sentez pas bien peut-être? Vous avez besoin de quelque chose?
-Tu es un de ces jeunes sans cervelle, n'est-ce pas?! Tu n'as pas honte de servir l'armée?! Après tout ce qu'ils ont fait aux Ishbals! Honte à toi!

Le soldat Bernhart ne savait plus quoi répondre, totalement perdu et accablé par les dires du vieillard. Il regarda ses bottes. Un terrible coup de blues s'empara de lui... Lui, fils de soldat et de médecin, qui savait ses parents morts là bas, à cette foutue guerre. mais comment le dire à ce vieillard qui devait être super ancré sur ses positions? La voix du timide petit soldat se leva, tremblante :

-Monsieur... j'ai perdu mes parents pendant cette guerre... Ma mère était soldate et mon père médecin... A 16ans, j'étais seul et affamé... Que pouvais-je faire? Les seules choses que je savais faire étaient obéir et me battre... Maintenant, je ne sais plus qu'obéir...
Le vieux le regarda, avec une autre lueur dans les yeux... Il se pencha vers le soldat et murmura à son oreille :

-Fous le camps de l'armée... Tu risques d'y avoir des problèmes... Il paraît qu'il y a des mouvements contre l'armée... Tu devrais adhérer à l'un d'eux, tu devras toujours obéir, mais cette fois, tu agiras vraiment pour le bien du peuple... Réfléchis à ce que je viens de te dire, croies moi gamin.

Ulrich regarda le vieux parler de ça... Fuir l'armée et devenir un renégat?! Cela lui paraissait tellement impossible... Mais d'un coté, son cœur lui disait de rejoindre l'un de ces groupes, ne serait-ce que pour voir. Tant d'hésitation... Enfin, pour l'instant il n'était pas question de trahir l'armée, mais le cœur troublé du jeune soldat était très facile à convertir, il suffisait de quelques mots bien choisis, d'exemples et d'ordres à donner.

Anzu avait entendus la discussion avec le vieillard, il avait failli rire mais c'était retenus. Se rabattre devant une personne totalement vielle et sans intérêt mais quelle manque de dignité! Le sourire au lèvre le jeune Anzu demanda à l'ancêtre:
- Le petit soldat vous à demander poliment si il y avait un problème, pourquoi lui répondre avec autant d'audace? Le vieillard lui répondit avec agacement
- Toi tu te la ferme d'accord!Anzu fut un peut choqué tous de même tant d'audace l'agacer il ne put résister de porter ses mains sur la gorge de l'homme vieux . " Pourrais tu répéter ses mots maintenant que tu es en position de faiblesse?L'homme âgée fit signe que non, Anzu le relâcha devant le regard apeuré des gens puis dit au soldat " Comment t'appelle tu ? ( désoler c'est plus court que d'habitude mais je ne sais pas trop si j'ai le droit dêtre à deux endroits en même temps du coup ... ==)

Ulrich avait regarder le vieillard se faire agresser, ce qui fit vite lever le soldat, qui posa sa main sur la crosse de son pistolet. Le nouvel arrivant lâcha tout de même la gorge du vieux, qui tomba comme une loque. le petit soldat aida le vieux à se relever, avant de regarder l'homme qui lui demanda son nom.

Par politesse plus que par autre chose, le soldat Bernhart lui répondit :

-Je suis le soldat 2nd classe Ulrich Bernhart. Et puis-je vous demander votre nom, vous qui osez agresser un pauvre vieillard?

Ulrich savait qu'il allait devoir éviter de provoquer l'inconnu, il y avait beaucoup de monde dans le train, ça aurait été dangereux... Il garda donc un ton le plus agréable possible. Et puis, autant en apprendre un peu plus sur cet homme...

il s'appeler donc Ulrich Bernhart , Anzu le regarda puis lui sourit, un sourire totalement faux qui pouvait mettre en doute n'importe qui
" Oui bien sûr je m'appelle Anzu . Je suis désoler de t'avoir fait peur mais je ne supporte ni les femmes et encore moins les personnes âgées . En disant ses mots il avait regardait le vieux qui tenait sa gorge entre deux inspiration totalement forcée.
" Alors tu comprendra que voir un homme se faire mal parler par un vieux, était intolérable". Anzu l'identifiai de plus en plus près,c'était bien un soldat aussi coincé toujours obéissant sans même chercher à comprendre les instructions . Anzu rit interieurement de la stupidité du soldat
autant s'amuser un peut avec de tel imbecile.
" Pourquoi avoir pris se train soldat? Anzu fit quelque pas regardant le vieillard qui se relever peut à peut et comme pour énerver le soldat "Ulrich Bernhart "il dit au vielle homme " Je serais vous je quitterais se compartiment n'avait vous pas entendu vous m' insupporter" .

Anzu sortit un couteau de sa veste, le pauvre homme s'enfuie évitant les éclats de rire du jeune Anzu qui rangea son arme.
"Vois tu il ta fait la morale mais à peurs de moi"

... Il n'y avait que des ishbals dans ce compartiment, et cet homme aux cheveux dorés avait osé toucher à ce vieillard sans défenses ? Rien que cela aurait pu insupporter l'homme juste et droit que représentait l'ancien chef d'état de Drakma... Mais en plus, il avait dit qu'il détestait les vieux et les femmes ? N'avait-il donc pas de mère ni de grand-père ? C'était absolument impossible. Et pourtant, il dénigrait allègrement toutes les personnes qui lui étaient différentes de sexes ou d'âge... Cela porta gravement sur les nerfs de Giro. Et quand on porte sur les nerfs d'une personne faisant 1m80, pratiquant intensivement le sport, plus particulièrement les arts martiaux, et pouvant paralyser ou tuer une personne en se servant de seulement deux doigts, l'on risquait gros, très très gros. Il était assis depuis le début du voyage, à moitié endormis à vraie dire, et ce raffut l'avait de surcroit réveillé. Ah, il était fier le Giro dans son long pantalon noir et plissé appelé Hakama par les pratiquants de sports dont le nom se terminait par "Do", et dans son haut de kimono de la même couleur auquel un sabre était attaché. Il était fier l'ishbal aux corps athlétique et aux yeux rouges comme le sang d'un taureau fraîchement égorgé. Mais malgré sa fierté, il était incapable de se réveiller à temps pour défendre un pauvre vieillard contre un dégénéré mental de première catégorie. L'homme aux cheveux mi long plaça une réplique au milieu de ce remous :

" Si tu continus à m'énerver, toi l'homme qui à l'odeur du sang, je te tuerais et lècherais le tient tout en dansant sur ta tombe."

Amère répartie, mais elle était pourtant très vraie. Le train passait sur les rails avec son bruit coutumier et régulier , le paysage défilait lentement, en même temps que le temps s'écoulait. Le descendant de la très célèbre famille Noden se leva et planta son regard absolument effroyable de part sa profondeur et l'impression sadique qu'il s'en dégageait dans ceux de la personne qu'il venait de menacer, comme pour appuyer ses dires il porta sa main droite à sa garde, à la moindre entourloupe, il tâcherait de trancher proprement l'autre en deux, en se servant d'alchimie s'il fallait. Tout le monde s'était soudain tût, et pendant le mince instant de flottement jusqu'à ce que l'autre ai réfléchit à sa réplique, il se mit sérieusement à réfléchir. Il avait vaguement entendu que Le jeune homme à la stature bien carrée était un militaire, un Ishbal qui plus était. Il le voulait dans ses rangs, à tout prix. Car il devait être au courant d'un tas de choses, même bégnimes, et devrait être facile à convaincre de part son appartenance à la même ethnie que lui. Et puis un militaire était toujours le bienvenue, pas besoin de le former aux armes, pourrait être un puissant atout pour vaincre ses semblables, obéï aux ordres, même si ils sont infâmes, oui, il le voulait. Il fallait d'abord se débarrasser de l'importun qui se croyait supérieur aux femmes et aux vieillards.

( Court poste, pas d'inspi, désolé...)

Le jeune militaire se préparait à répondre lorsqu'un Ishbal intervint. C'était la première fois qu'Ulrich voyait un membre ethnique de cette taille et carrure. D'habitude, les Ishbals semblaient frêles et faibles, tellement facile à écraser... Mais lui, il était représentant de la force, de la bonne santé et du guerrier efficace. Et puis, il avait vraiment l'air de se soucier du peuple... peut-être qu'Ulrich aurait un certain intérêt à aller lui parler... Mais pour l'instant, il vaudrait mieux s'occuper du gêneur. Surtout que cela risquait de vite tourner à la rixe...

Le soldat fit évacuer le wagon, pour éviter des pertes et victimes civiles. Puis il revint vers l'homme et l'Ishbal, pour répondre ,d'un ton totalement désintéressé à la question du perturbateur violent :

-Je prends ce train pour rentrer au bercail après mon repos. Mais ce vieillard, que tu as traité avec un égard qui me déplait au plus haut point, il m'a fait réfléchir... Et que tu t'attaques à quelqu'un d'une autre génération que la tienne m'est horrible.

Le petit soldat avait déballé ce qu'il pensait, tout en réfléchissant aux dires du vieux... Oui, il fallait qu'il quitte l'armée, mais il allait devoir chercher où aller, qui rejoindre et que faire, il ne saurait pas vivre seul, et ça, Ulrich le savait.

[Bon, désolé pour les petits post nuls que je fais, mais je suis pas encore dans la peau du personnage....]

Anzu regarda les deux autres d'un air bizarre, un regard noir fut lancé à l'homme en noir ( the man in black XD). Un sabreur lui aussi, si il devait faire un combat avec, il l'apprécierais grandement. Enfin, l'heure n'était pas à ça. Il adopta un mine sadique et explosa d'un rire malséant. N'importe qui l'aurait regardé avec une mine surprise, après tout, il était menacé par un personnage qui était plus grand et avait une carrure plus imposante que lui, et pourtant il se marrait comme un taré ? On aurai pu penser qu'il avait un problème, pourtant, si l'on regardait le fil de ses actions on se rendait compte qu'il avait tout prévu depuis le commencement. C'était une personne avec un esprit terriblement logique et au raisonnement poussé, un peu comme les psychopathes. Il posa son regard évocateurs de milles tortures sur le petit soldat qui remuait son cul pour faire s'évacuer les personnes présente dans le compartiment. Il aurait très peu de temps pour faire son annonce à l'Ishbal à la tenue de Kendo et aux yeux perçant, tel le fau(vrai ?)con. Il se mit sur la pointe des pied pour glisser à l'oreille de l'autre de l'air qu'il fit savamment passer dans ses cordes vocales pour arriver à en faire sortir la suite de sonorité suivante :

" En quelques mots : Le vieillard était très louche, trop louche, quand je l'ai décollé du sol il a contracté ses muscles de manière à ne pas se faire mal, je sais ça, je l'ai vu avec mon maître. De plus, son cou était très dur, impossible qu'il se soit fait étranglé, et pourtant il à fait mine de respirer à grande goulées... Pour un vieux, il était drôlement résistant non ?"

Il lui laissa quelque secondes de réflexion, pour qu'il se remémore la scène, car pour une cervelle endormie, c'était compliqué de faire la part des choses. Il continua ensuite son monologue :

" Je lui ai fait peur pour qu'il ne nous espionne pas alors que nous parlions, sans doute un agent d'une faction quelqu'oncque"

Une certaine logique très poussée ressortait de tout cela, et il eu à peine le temps de finir son dernier mot qu' Ulrich venait d'avoir fait sortir tout le beau monde, les laissant ainsi seuls. Devant le soldat de moindre importance, il reprit son visage sinistre et si beau à la fois, de maître sadique. Il sautilla sur ses pieds, semblant effectuer une espèce de danse macabre, en fait non, il était plutôt impatient, et masquait le bruit de ses propres pas pour aller coller son oreille afin de savoir si l'on ne les épiait pas à nouveau. Sa face s'éclaira et il ouvrit très brutalement la porte, par chance, elle s'ouvrait de l'extérieur vers l'intérieur une personne s'écroula, elle semblait être appuyée contre la porte dans le but de tout noter sur un bloc note qu'elle avait à la main, bizarre car c'était curieusement le vieillard de tout à l'heure. Quelque chose disait que l'homme aux multiples visages n'avait pas mentit à son collègue sabreur. Le vieil Ishbal afficha une face apeurée et dit d'une voie toute tremblotante, presque attendrissante :

" Pa... Pardon"

Il se mit en position de soumission classique chez les ishbals, semblant prier dieu, ou Anzu.

Desoler du double post mais je tiens à savoir si vous avais arrêter l'histoire la ...??

J'ai envoyé un mp à Ulrich, il y a de cela deux jours, pour lui dire de continuer car j'avais aucune inspi...

Lui ma dit que c'était à toi de répondre !!!

» Si quelqu'un veut du petit soldat ^^
» Voyage en train.
» Yama prend le train !
» Le petit train train train qui nous emmene loin loin loin ..
» tchou tchou le petit train!